Suite au début de reportage de Jacques Dauphin publié en partie dans ce journal www.jacquesdauphin.blogspot.com, de nombreux lecteurs espagnols m’ont écrit pour se plaindre du manque d’objectivité de l’analyse dudit Jacques, qui se présente lui-même d’ailleurs comme un chat bleu de bonne taille en train de terminer les restes de ses maîtres (morts depuis quelques années)…
Peu importe. Je suis allé sur le terrain me confronter au réel. Et voilà quelques images accablantes de vérité :
Pendant quelque jours même, le B de la ville avait été égaré, mais heureusement il a été retrouvé, sur un toit, près de la plaza Espanya…
Tout cela pour dire que Jacques Dauphin, malgré ses réticences à voyager, n’avait pas tout à fait tort : la crise est bien là, complexe, impénétrable, indéniable. Même les clochards ont l’air de faire semblant de rien, mais ne soyons pas dupes. Sinon, pourquoi ces bouteilles d’eau ?