A la quête du bonheur

11 avril 2013

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Durant les « trente glorieuses » plusieurs hommes sont devenus rapidement riches. Parmis eux un jeune arriviste Français, Thomas Brenton, qui a réussis à gravir les échelons seul.
Enfant, il a été abandonné par son père et a vécu et a été éduqué par sa mère. Même si il lui manquait son père, il restait objectif et écoutait les conseils que sa mère lui donnait, elle lui disait qu’il devait continuer à étudier, que même si son père l’avait abandonné cela faisait parti de la vie et le plus important d’entre eux était qu’il fallait rester fort car seul les faibles se font écraser par le systèmes. Alors c’est ce qu’il fit et devint le président d’une très grande entreprise pétrolières. Mais alors qu’il était au sommet de la chaîne sociale, qu’il avait tout ce que la Terre pouvait offrir à un homme, il commençait à se lasser des soirées mondaines, des poignées de main et des sourires hypocrites. Thomas sentait qu’il lui manquait quelque chose, quelque chose d’essentiel à l’épanouissement de l’être humain… Le bonheur.
Effectivement, il en été arrivé à la conclusion qu’il n’était pas heureux, toute sa vie il avait travaillé et ne s’était jamais préoccupé de son bien-être.
Alors un soir, il décida de se lancer à la recherche du bonheur, une sorte de pèlerinage spirituel. Il demanda à plusieurs personne de son entourage ce qu’était le bonheur et chacun avait une conception différente du bonheur ; pour certains se sont les femmes, d’autres l’argent… Mais Thomas avait déjà tout ça et savait que ce n’était pas ce qu’il cherchait. Alors il quitta la France et alla dans des pays plus exotiques pour avoir une autre vision de la vie. Il traversa de long en large la mer méditerranée, traversa l’Afrique. Il commença par aller au Caire, dès son arrivé à l’aéroport, il y avait une chaleur très agréable, il était arrivé pendant le crépuscule et le ciel avait pris une teinte rosée, Thomas se sentait bien sans stress, sans travail il pouvait enfin souffler un peu. En sortant de l’aéroport il y’avait une longue route qui était habillée de plusieurs palmiers, il pris un taxi qui l’emmena voir un homme qui avait plusieurs contacts dans le monde arabe et qui pourrait l’aider. Hélas, il ne connaissait pas de personnes qui pouvait résoudre son problème. Déçu, Thomas continua sa quête de plénitude et traversa la Libye, la Tunisie, l’Algérie et le Maroc. Puis il arriva en Mauritanie, un pays très pauvre où il y’a un paradoxe dans sa population : On peut passer de la personne la plus croyante à la personne la plus perfide du monde. Cependant il avait entendu parler d’une rumeur local qui disait qu’il y’avait un homme qui résolvait les problèmes des gens, alors il alla chez lui pour lui demander conseil. Il était devant la maison du sage, elle n’avait rien de spécial c’était une villa blanche avec un portail noire tout ce qui avait de plus simple, une fois à l’intérieure il fut accueilli par un homme qui lui montra le chemin. La décoration était très élégante malgré sa simplicité, Thomas senti une odeur assez agréables dans la maison… une odeur de musc. Il arriva dans la chambre du sage. Lorsqu’il entra, le majordome ferma la porte en sortant. Enfin il était seul avec le sage. Cependant, ce dernier était derrière un drap qui le séparait de Thomas, cela le laissa perplexe, la chambre été éclairée par une fenêtre ouverte qui donnait sur la ville, c’était une modeste chambre il y’avait un lit, un canapé et une petite table sur laquelle se trouvait un vase contenant des orchidées. Il y’avait des étagères dans les quelles il y’avait toutes sortes d’objets tels que une rose des sables, une sculpture de cristal, un bol contenant des jades… Le sage invita Thomas à s’asseoir, il s’exécuta. Puis il exposa son problèmes, alors le sage lui dit : « Il n’y a point de chemin vers le bonheur, le bonheur c’est le chemin ». Puis le majordome entra et demanda à Thomas de sortir, abasourdie par les paroles du sage il resta assis un moment puis se leva et sorti de la maison.
Thomas rentra en France en bateau avec ces quelques mots en tête. Alors qu’il traversait la méditerranée sur le navire il regardait l’eau, elle était d’un bleu si sombre, elle paraissait si profonde. Puis il regarda le sillage du bateau sur la mer, leva la tête vers le ciel, ferma les yeux et respira un bon coup. Il n’y avait pas un bruit sur celui-ci juste le son des vagues qui s’écrasait sur le bateau, alors Thomas se remémora toutes sa vie depuis le commencement et…sourit.